N le maudit

Ce n'est un scoop pour personne que Nicolas a été souvent comparé à Napoléon.

En revanche, vous ne savez peut-être pas que vers 1815, la rumeur courait que Napoléon s'appelait en fait Nicolas. Non, ce n'est pas une blague, je vous cite Chateaubriand :

"Les anglais ont prétendu que le prénom de l'empereur était Nicolas, d'où en dérision ils disaient Nic. Ce beau nom de Napoléon venait à l'empereur d'un de ses oncles qui maria sa fille avec un Ornano."

Les Mémoires d'outre-tombe, 3ème partie, 1ère époque, Livre premier, 3 Branche particulière des Bonaparte de la Corse.

Comments

[pandore]

Non, Jean-Claude est en prison, si t'as bien suivi. Ah non c'est vrai, c'est avec Danton que j'ai vu son dernier film. J'étais en Thaïlande avec Tony Jaa, qui est plus jeune et plus beau, et qui aime les éléphants.

(Non en vrai je suis partie à l'ile de Ré avec Bouschon et Nat-des-pixels.)

[Max]

Tu pars à Ibisa avec Jean-Claude Van Damme comme l'année dernière?

[pandore]

Patrick > ah tu crois qu'elle est aphone ??

Max > Max mon trésor, tu es le bienvenu ici, même si c'est pour causer à Patrick : je suis un peu votre Mme de Récamier, finalement. Ou Mamie Mason si on préfère Chester Himes à Chateaubriand. Bon on buvait plus chez elles que chez moi, mais c'est spirituel.

Bon mes lapins, je pars une semaine en vacances, soyez sages et faites plein de notes, surtout toi Max et toi aussi Danton, je vais voir si les homards sont aussi beau en vrai que chez Patrick, mais j'en doute.

A plus.

[Max]

Nono le blaireau :-)

P.S: Patrick tu fais chier avec tes liens hautement suggestifs vers mon blog qui risquent de faire fuir toutes les infirmières strip-stripteaseuses sans culottes adulant mon portrait le matin au réveil en suçant leurs longs doigts graciles maculés de confiture de fraise des bois sombres où se cache le looooouuuuppp...

P.S: pardon pour ces messages personnels incongrus

P.S: veuillez bien m'essecusez mademoiselle Pan pan

P.S: ip's vive la France!

P.S: il suffit

[patrick]

Pauvre Nicolas Napoléon qui doit maintenant écouter en sourdine l'abominable refrain de sa muse aphone.